27 janvier 2017
Fillon à la basse cour
L’autre matin, gai comme un pinson, j’installai mon transat dans le jardin, déjà fin prêt à gober les mouches, la bouche grande ouverte tellement je baillais aux corneilles. Une autre mouche, elle, avait du piquer mon canard que je vis revenir de l’abri...